Dans le cadre de leurs activités de leur mini-entreprise, les élèves de DP3 ont commercialisé les bracelets fantaisie, fabriqués à partir de capsules recyclées. Il ont essuyé des refus, et ont dû mettre en avant les slogans élaborés et travaillés en classe. C’était le travail entre autre du service commercial.
Pour attirer les clients potentiels, d’autres élèves (service communication) ont distribué des flyers.
Le service financier quant à lui a tenu les comptes et la caisse.
La direction générale a encadré tous les services et n’a pas hésité à émettre des recommandations. Ainsi, un membre du service technique a proposé de vendre un article en dessous du prix de vente. Ce qui a déplu à la direction adjointe qui a remis les "choses en place" : " je ne suis pas d’accord. C’est 5 euros, sinon tu ne vends pas".
Enfin, cela a permis aux uns et aux autres de s’enrichir mutuellement et de prendre à cœur leur rôle. C’est aussi l’avis de Valérie T, professeur d’anglais (à l’initiative du projet et intervenante), d’après les propos recueillis suite à un entretien téléphonique : ils sont là pour apprendre, et s’apercevoir des difficultés des différents services d’une entreprise en exercice.
Les clients ont beaucoup apprécié les fabrications des élèves, mais ont été réticents dès qu’on leur a annoncé les prix. Chiffre d’affaire de la demi- journée 34 euros. Certains ont été déçus et ont bravé le froid, mais ils se sont aperçus que quelques métiers sont parfois difficiles.
D’autres nous ont agréablement surpris quant à leur spontanéité, leur facilité d’ aborder les personnes et à se montrer convaincants.
Nous n’oublions pas qu’ils sont en année d’orientation et qu’ils découvrent pour certains leurs centre d’intérêts.
Quant à une élève qui était timide, et qu’on a épaulé, elle a été rassurée et entreprenante lors de cette sortie.
Merci à Sandrine responsable du magasin Six, qui a appelé la direction générale en Allemagne et nous a donné son autorisation.
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